Gaza, plus jamais ça
13 02 2009J’ai peur, j’ai peur, je le sens,
Dans mes tripes, dans mon sang,
Dans mon esprit, un frisson,
De désarroi, des tourments.
J’ai peur pour touts les enfants,
Les innocents, petits et grands,
Arméniens, romains, afghans,
Africains noirs, Africains blancs.
J’ai peur de la folie du Juif,
Du taliban trop impulsif,
Des théocrates inquisiteurs,
Des technocrates fusilleurs.
J’ai peur des foules hystériques,
Des décideurs froids et cyniques,
Des arguments confectionnés,
Dans les églises et les mosquées.
J’ai peur des lavages de cerveaux,
Par les écoles et les journaux,
Quand seule la haine prévaut
Et l’homme devient un robot.
Y a-t-il une chance pour s’en sortir,
Désamorcer, déconstruire,
Cette terrible violence
En perpétuelle croissance.
Par convertir toute religion,
Et transformer les politiques,
En amour, paix et passion,
Pour Dieu, le juste et l’unique !!
Mohsen Lihidheb (Eco artiste)
Zarzis Tunisie 08.02.09
Question posée ci-dessus :
« Y a-t-il encore une « chance » pour s’en sortir » ?
Existe-t-il encore une solution pour désarmer toutes les violences ?
Réponse : OUI !
Consultez, dans l’ordre logique, les 2 rubriques MESSAGE MOUYSSET puis LIVRES de ce blog… Mon livre vous attend moyennant 20 euros, avec port compris, dans le monde entier.
Je suis « désolé » de vous informer qu’il n’existe aucune autre « chance », solution ou issue. Mais, contrairement à nous, les enfants de Gaza – et tous les autres Enfants d’où qu’Ils soient sur notre planète – n’ont plus de temps à perdre ni de vieilles dettes d’adultes à rembourser. Alors ne perdons plus notre temps ni nos argents, ni ici ni ailleurs…
Merci pour Eux ! Merci pour Nous !
Car, dans un cas contraire, ces tragédies (dont les « spectacles » viennent d’être redonnés à Gaza) se perpétueraient à l’infini, sans autres vagues à l’âme – mais bien sûr à guichets fermés ! – là-bas et partout sur la Terre, où des lâches silences resteraient complices des censures des médias et des autocensures pitoyables.
Très cordialement, Joël MOUYSSET.
P.-S. : Et ne faites plus les « morts », « comme si » vous ne m’aviez pas bien lu ni bien compris toutes et tous…