Présidentielle : Emmanuel Macron, otage du vote islamiste ?

29042017

0000.pngPar : Mohamed Louizi

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Avertissement :

Le décryptage qui suit ainsi que ses illustrations, en annexes, pourraient aider à faire un choix électoral (ou pas), le 7 mai prochain, au second tour des élections présidentielles. J’en suis conscient. J’assume ce que j’écris, comme je l’ai toujours été, y compris dans les prétoires. Je suis responsable de ce que je dis. Je ne suis comptable ni de ce que d’autres en feraient, ni des possibles instrumentalisations. Je rassure mes lecteurs que toutes les informations sont vérifiables à 100%. Plus de cinquante notes bibliographiques renvoient aux sources directes. Aucune source n’est un « fake news » d’origine russe. Les illustrations comportent d’autres informations complémentaires.

Certains diraient que ce ne serait pas le bon timing pour le publier. Ce qui est certain, c’est qu’il a été écrit après l’annonce des résultats du premier tour, en réaction aux diverses polémiques ambiantes, pour éclairer simplement le choix au second tour. Très condensé, il est composé de neuf parties et pourrait être lu en une seule fois, ce que je recommande vivement. Toutefois, il pourrait être lu aussi en petites doses. Comme tout texte à enjeu, en ces temps, il est susceptible d’avoir des effets indésirables : rougeur des joues, trouble de la vision, énervement, insomnie, stress, déprime et hypertension artérielle. Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnées dans cette introduction, veuillez m’en informer pour les textes à venir. Bonne lecture !

1- Mohamed Saou est-il un cas isolé ?

«Il a fait quelques trucs radicaux, c’est ça qui est compliqué, mais c’est un type bien Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré !»[1] expliquait Emmanuel Macron, hors antenne, le vendredi 14 avril 2017, sur la radio Beur FM, pour défendre Mohamed Saou,  son ex-référent du Val-d’Oise. Ce dernier avait dit, sur sa page Facebook en septembre 2016 : «Je n’ai jamais été et je ne serai jamais Charlie». Reprenant à son compte un slogan islamiste post-attentat de Charlie Hebdo, à l’image d’un certain Tariq Ramadan qui n’a jamais été «ni Charlie, ni Paris» : le fameux «ni, ni» des islamistes.

Marwan Muhammad, président de l’organisation frériste CCIF, avait lui aussi exigé des explications et a menacé d’ Lire la suite… »




Jacques au pays de Merville (2/5) : Des IDÉES dans un SAC AU DOS

11042017

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Par : Mohamed Louizi

 Mise en contexte

En enquêtant depuis presque deux ans sur le projet « garage solidaire du Hainaut», financé par les subsides publics et porté par l’islamiste Soufiane Iquioussen et ses acolytes, celui-ci, face à l’évidence des preuves matérielles  factuelles, n’a jamais osé attaquer mes écrits[1] devant la justice. Le 15 mars 2017, j’ai publié un nouvel article[2]. Là aussi, ce n’est pas Soufiane Iquioussen qui m’a attaqué en justice mais son conseiller : le socialiste Jacques Parent, ex-maire de Merville et ex-conseiller général au département du Nord, chargé de l’économie sociale et solidaire. Celui-ci m’a assigné devant le TC de Lille pour « diffamation ». Je suis donc convoqué le 2 mai prochain. Ainsi, pour que mes lecteurs puissent connaître davantage Jacques Parent, j’ai décidé de publier une enquête intitulée « Jacques au pays de Merville », en cinq volets, pour éclairer son univers politique, associatif et professionnel. Le premier volet est à lire ici[3]. Voici donc le deuxième (merci de cliquer sur les images pour les agrandir !) :

Un pouvoir à cercles concourants

Chez Jacques Parent, l’ex-conseiller général et l’ex-maire socialiste de Merville, trois cercles sont presque concourants – non pas au sens  du « théorème de Miquel » dans la géométrie plane (!). Ces cercles sont : l’associatif, le politique et le professionnel. Son CV public le démontre si bien. Jacques Parent en fait lui-même un gage d’expertise[4]. Ses adversaires politiques mettaient en cause, à l’occasion des échéances électorales, ce mélange des genres. A tel point qu’il s’est senti contraint de Lire la suite… »




Jacques au pays de Merville (1/5) : prologue

2042017

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Par : Mohamed Louizi

Le 11 février 2008, François Hollande, alors premier secrétaire du Parti socialiste, était l’invité phare de la fédération nordiste de son parti, pour inaugurer officiellement, depuis la commune de Merville (59660), une campagne électorale nationale, aux grands enjeux départementaux et locaux. Il a dit : «Je viens avec Bernard Derosier et  Gilles Pargneaux lancer ici, rendez-vous compte, à Merville, la campagne nationale du Parti socialiste pour les élections cantonales !»[1].

Les candidats socialistes de ce canton s’appelaient Jacques Parent et sa suppléante, Jacqueline Chitboun. François Hollande justifiait le choix de cette commune en particulier – alors que la France métropolitaine comportait 36.569 communes et plus de 2.000 cantons en 2008 – en disant, je cite : «Quand je suis venu à l’invitation de Gilles Pargneaux, j’ai demandé que l’on me choisisse un canton emblématique … que nous puissions gagner»[2]. Et François Hollande de rajouter : «Je veux dire à Jacques et à Jacqueline que nous sommes Lire la suite… »







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