Affaire Fatima En-Nehary (PJD) : première plainte déposée, la deuxième en cours de préparation …
28 09 2017(Cliquer sur les images pour les agrandir)
Mon excommunication publique par l’islamiste Fatima En-Nehary (PJD-Paris) est désormais entre les mains de la Justice Française. Après une pré-plainte formulée et acceptée dès le lundi 25/09/2017, j’ai été reçu ce matin dans les locaux du commissariat central de ma ville, par un officier de la police judiciaire, pour compléter et signer ma plainte, et aussi pour verser dans le dossier les preuves matérielles en ma possession.
A ce stade de l’enquête, l’infraction pénale retenue contre l’islamiste Fatima En-Nehary est : « menace de crime contre les personnes, matérialisée par écrit, image ou autre objet ». Le PV (cf. ci-joint) sera transmis, selon le Code de Procédure Pénale, à Monsieur le Procureur de la République, au TGI de Lille. Naturellement, je me suis constitué partie civile dans cette affaire qui est prise très au sérieux par la police judiciaire, d’après ce que j’ai compris.
Par ailleurs, une seconde plainte est en cours de préparation de l’autre côté de la Méditerranée : au Maroc. Elle sera déposée sous peu. Je vous en dirai davantage dès son enregistrement. En attendant, force est de constater que le PJD n’a dit mot, officiellement ou par voie de communiqué, à ce sujet. Ses membres et sympathisants sont très divisés sur les réseaux sociaux. Certains, quelques centaines tout au plus, soutiennent Fatima En-Nehary. D’autres y prennent leur distance et le font savoir avec courage et clairvoyance.
Toutefois, alors que le parti islamiste PJD ne se lasse de répéter qu’il rejette(rait) le takfirisme et les violences qu’il engendre, son curieux silence au sujet de Fatima En-Nehary interroge. Mon message (cf. ci-joint) envoyé à son représentant en France, M. Omar El-Mourabet (maire-adjoint de la commune française Athis-Mons bien qu’il soit islamiste), reste pour l’instant sans réponse. Par conséquent, le PJD valide-t-il ma désignation comme « hérétique » (Zindîq) par celle qui semble-être toujours son chargée de communication à Paris ?
Enfin, je tiens à vous informer que l’islamiste Fatima En-Nehary a publié un communiqué hier soir sur sa page Facebook : en français svp, cette fois-ci ! Celui-ci, intitulé : « Communiqué : Réponse aux accusations de «Mohamed LOUIZI» » (cf. ci-joint), se veut être, en apparence, une réponse (!) à mon article du 13 septembre 2017 intitulé : « PJD Paris : Fatima, un profil radical protégé sous le voile ? », que vous pouvez lire, relire et partager depuis mon présent blog et aussi depuis ma page Facebook. Je dis « en apparence » uniquement car tout lecteur attentif verra comment elle ne répond pas sur le fond du sujet et comment elle tente, vaille que vaille, de noyer le poisson pourri dans un discours cherchant, peut-être, des appuis auprès de sa Majesté le Roi Mohammed VI, entre autres.
Elle le juge « diffamatoire » et semble avoir décidé depuis le 15 septembre, suivant les conseils de son avocat dit-elle, d’engager des poursuites judiciaires à mon encontre pour « diffamation ». On notera que son communiqué n’intervient que deux semaines après la publication de mon article et surtout après m’avoir taxé d’ « hérétique ». Certains diraient que l’attaque est la meilleure tactique pour se défendre. Pour l’instant, je n’ai reçu aucun acte judiciaire me signalant une quelconque plainte à ce sujet. Peut-être, compte-t-elle me reprocher d’avoir juste, et très justement, décrypté, analysé et dénoncé ses propres publications violentes — toutes issues de son profil Facebook ! — somme toutes indéfendables à tous les niveaux, y compris sur un plan purement judiciaire ? Celle qui se présente comme « mère de cinq enfants », comme pour tirer sur la corde émotive sensible, oublie juste un détail : elle a mis sans scrupule l’étiquette « hérétique » — ce qui signifie dans la charia des islamistes « un permis à tuer », faut-il encore le rappeler — sur la tête d’un « père de trois enfants ». Les deux justices, française et marocaine, trancheront et diront le droit, au nom de la République à Paris et au nom du Roi à Rabat. à suivre …
Cette langue de bois dictée par son avocat ne semble guère tenir la route, son communiqué n’est autre qu’un appel au secours à sa Majesté le Roi Mohamed 6.
Il est clair que c’est elle qui abuse dans son utilisation des mots incitants au meurtre tel que « Zindiq » et non pas Monsieur Louizi. J’espère qu’elle saura cette vérité le jour J.
Le radicalisme intellectuel n’a pas sa place dans ce pays, et Dieu Merci, des gens comme toi, savent le dénoncer!
Vive ceux qui œuvrent pour la paix, donc pour l’humanisme!
Vive notre cher ami Louizi!
Bonjour je suis ex épouse fatima en-nahy plus de renssegnemt contact moi merci