Roman islamiste à l’eau de rose : sexe et scandales

22 10 2017

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L’éclatement du «Ramadan Gate» montre, heure après heure, l’embarras de son fan-club. Certes, la Justice Française est déjà appelée à s’en saisir. D’abord pour examiner les faits présumés d’agressions sexuelles que lui reproche l’auteure Henda Ayari — qui, à en croire d’autres récits, ne serait pas la seule dans ce cas — mais aussi pour dire si l’annonce publique sur les réseaux sociaux de ces faits présumés, dans l’ambiance d’autres affaires similaires, depuis le début du scandale Weinstein, était (ou pas) punissable, pénalement, comme étant un acte de «diffamation» et de «dénonciation calomnieuse». Dans un cas comme dans l’autre, le débat judiciaire risque d’être mouvementé et très riche en rebondissements, presque imprévisibles. Dans les deux cas, la justice saura dire la loi, en toute indépendance.

1- Le « dieu » Ramadan :

Au-delà du débat judiciaire qui devient inévitable, des réactions tant hystériques que menaçantes de ses fans dévoués, montrent à quel point l’apothéose et la starification médiatique de l’icône Ramadan, depuis plusieurs années, a produit tout le contraire de ce que lui-même répétait, par voie orale, dans ses conférences, à l’adresse de celui qui voulait bien l’entendre, à savoir, le sens premier du dogme Tawhîd (التوحيد) — ce dogme central en islam, celui de l’unicité de Dieu — qui, selon ses interprétations, doit produire chez tout croyant l’unique attachement à l’idée et jamais à l’idole. Cette apothéose, contraire donc au dogme du Tawhîd, à en croire Tariq Ramadan lui-même, dévoile un comportement très largement répandu.

Un ami historien, étudiant l’évolution de l’image du Prophète Mohammed chez les croyants musulmans à travers les siècles, qualifie ce comportement, avec prudence, par l’expression «christianisation de l’islam». Une attitude observée chez de nombreux croyants musulmans orthodoxes, islamistes ou pas, qui, tout en rejetant le dogme chrétien de la Trinité, en refusant en particulier la divinisation de Jésus de Nazareth, divinisent à leur tour, consciemment ou inconsciemment, implicitement ou explicitement, le Prophète Mohammed, ses femmes, ses compagnons, ses successeurs, et aussi des prétendus «savants», anciens et contemporains, ainsi que d’autres prédicateurs à l’image du sulfureux Youssef al-Qaradawi et de son élève Tariq Ramadan, entre autres.

Il me fait remarquer que, par exemple, tellement l’icône du Prophète remplit désormais chez des fanatiques tout l’espace disponible de la foi, les djihadistes de l’attentat de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, n’avaient pas crié : «Nous avons vengé Allah !» mais ils avaient crié : «Nous avons vengé le Prophète !». Un fait.

2- Un acte d’ « islamophobie » ?

On constate, par ailleurs, que dès que cette divinisation mentale s’opère, sur le temps long, en s’alimentant d’effets médiatiques puissants, dans une culture audiovisuelle consumériste à la recherche de stars vénérées, en gagnant en efficacité par d’autres procédés produits par une sur-communication bien agencée, se basant parfois sur des mensonges éhontés, orchestrés par des agents spécialisés payés au prix le plus cher, cette divinisation de l’icône inhibe, dans l’esprit du fan, toute faculté de distanciation critique entre lui (ou elle), d’un côté, et son idole, de l’autre.

Elle le transforme en une espèce de partisan gouroufié, manipulable à volonté, prêt à tout, y compris aux pires bassesses du langage, pour sauver, à tort ou à raison, l’icône de son saint, de son dieu. Certains croyants indexeraient même la foi en un Dieu, sur leurs diverses fois en bien des divinités innombrables, pourtant humaines. Dès que l’une d’elle est touchée, critiquée ou dénoncée, ils perdent la raison, crient au blasphème. Bientôt, peut-être, le fan-club de Tariq Ramadan assimilerait le propos de Henda Ayari à un acte d’ «islamophobie». Qui sait ?!

3- Un pavé dans la mare du Nord

Ce fan-club, indépendamment de ce que déciderait la Justice Française, doit remettre les pieds sur terre et savoir raison garder. Car les islamistes sont d’abord (et uniquement) des humains. Ils ne sont pas des dieux. Ils peuvent le meilleur, très rarement, comme ils peuvent le pire, assez souvent. En particulier, le rapport des islamistes au sexe (et au désir sexuel) n’est pas très différent de ce que pourrait être ce même rapport chez d’autres humains. Dans certains cas, des islamistes notoires se révèlent plus appétents, sexuellement parlant, que la moyenne des hommes et des femmes. Ils ont parfois des comportements déviants, condamnables pénalement, totalement à l’opposé des règles morales qui prêchent à longueur de leurs discours moralistes.

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D’ailleurs, si l’on feuillète indiscrètement les pages du «roman islamiste à l’eau de rose», du point de vue des islamistes et non du point de vue de de leurs victimes, on découvrirait, peut-être, l’histoire de cet imam-islamiste, grand aumônier hospitalier dans le Nord, qui fut un temps, « coureur de jupon », de l’aveu même de filles qui, toutes jeunes à l’école coranique où cet imam professait à Lille, subissaient dans la gêne et le désarroi ses regards désireux. Il est aussi imam-exorciste, pratiquant, y compris au sein de sa mosquée, la fameuse « Ruqia Char’ia » (الرقية الشرعية) surtout sur des femmes, s’il vous plaît !

Plus généralement, cette pratique très répandue, au vu et au su des autorités, permet aussi à de «pieux» charlatans, de profiter, à moindre frais, de leur assise religieuse pour faire croire, surtout à de jeunes femmes vulnérables, qu’ils posséderaient le remède magique à leurs mal-être psychologiques (suite à un divorce, échec scolaire, …). Des fois, la main baladeuse de l’imam glisse plus vite que son regard désireux, effleurant l’attouchement sexuel. La tentation inhibe la morale. La femme se soumet malgré elle. «L’imam dont on attend la baraka a foulé la mosquée avec ses babouches» dit le proverbe marocain. La maison d’Allah se transforme, un laps de temps, en un bordel … bénéficiant de la loi de séparation des Églises et de l’État !

Quant à notre imam nordiste, que l’on peut aussi surnommé «Zoubeyr», un protégé parmi les protégés, tout en se disant soi-disant «légaliste», il s’est trouvé récemment, impunément, dans une situation de flagrance polygamie : mariée avec l’une de ses anciennes élèves-proies. Il aurait même dit aux enquêteurs qu’il ne s’agissait pas de sa deuxième femme mais, accrochez-vous, de sa maîtresse (halal). «Mais depuis quand un imam bénéficie-t-il d’autorisation «religieuse» d’avoir une maîtresse, halal ou pas ?», auraient dit les enquêteurs, abasourdis.

4- Saint viol à « l’école de Bordeaux » ?

On découvrirait, peut-être, l’étrange comportement de ce grand imam-islamiste, un «imam républicain» selon certains. Un imam-réformiste selon d’autres. Situé lui dans le Sud-Ouest de la France. Très respecté et très médiatisé par ailleurs. Très proche d’Alain Juppé qui le défend. Décoré de la Légion d’honneur. Dirigeant du centre CAPRI (pour prévenir ladite «radicalisation») — qui bénéficie d’un financement public incroyable. Il est aussi grand-aumônier des prisons dans la région Nouvelle Aquitaine. En marge des formations que j’ai encadrées dernièrement à la DISP (Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires) de Bordeaux et au CP (Centre Pénitentiaire) de Mont-de-Marsan, j’ai compris qu’il faisait presque la pluie et le beau-temps en ayant l’exclusivité de la nomination des aumôniers de prison dans cette région. Pire, il ne nommerait à ces postes clefs, qui servent à diffuser l’idéologie de l’islam politique en milieu carcéral, d’après ce que j’ai compris, que des imams frères musulmans ou leurs sympathisants. Il a réussi, à lui seul, selon l’expression de sociologues qui lui sont très proches, de créer un concept dans la relation des Frères Musulmans avec les pouvoirs publics : «l’école de Bordeaux». Voilà pour la présentation !

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Il s’agit, on l’a bien compris de l’imam Tareq Oubrou qui aurait, selon des témoignages glaçants, couvert, tel le cardinal Barbarin, des affaires concernant des «attouchements sexuels», des «atteintes à la pudeur», des «voies de faits aggravés» sur «des mineurs dont de très jeunes filles». La charge accusatoire lourde vient de la plume de son ex-disciple Djellil Omar,. Ce dernier — que l’on soit admiratif ou pas de son parcours, que l’on soit d’accord ou pas avec ses choix politiques — livre un témoignage éclairant, poignant, sans concession, toujours en accès libre sur le Net, jamais attaqué pour «diffamation» ou pour «dénonciation calomnieuse» par le grand imam bordelais.

Ce témoignage est intitulé : «Frère Tareq, l’impossible vérité : ce que les médias ne vous diront jamais sur Tareq Oubrou»[1]. En conclusion, des témoignages circonstanciés avec des noms, des dates, des lieux et des précisions sèment le trouble. Cela faciliterait certainement la tâche de la Justice Française, s’il voudrait bien examiner un jour cette lourde charge et appeler toutes les personnes citées à la barre des témoins. Car ce que résume la conclusion est d’une violence inouïe qu’auraient subi des enfants, dans trois mosquées contrôlées par le frère Tareq et par sa mouvance islamiste « Musulmans de France » (ex-UOIF), laissant transpirer aussi la violence symbolique des pressions exercées sur les familles des victimes présumées pour qu’elles ne sollicitent aucune réparation judiciaire, pour qu’elles se taisent à jamais !

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Certes, tout au début du témoignage, on lit des passages de ce qui ressemblerait, plutôt à la série « Dallas » en Gironde, où un cadre islamiste, qui fut membre de l’UOIF et ex-président national d’EMF, aurait eu une relation avec la femme de son «frère», un imam-aumônier des prisons, lui aussi membre de l’UOIF (actuellement nommée «Musulmans de France»), en entraînant l’explosion du couple. Après le divorce, comme dans le normal, l’ex-cadre islamiste s’est séparé de la mère de ses enfants pour se remarier avec son ex-maitresse. Un truc de ouf, diraient certains. Cependant, l’auteur interroge surtout le comportement de ce grand imam et veut savoir pourquoi ces présumés actes de pédophilie n’ont toujours pas été dénoncé devant la Justice ? Qui couvre qui ? Qui couvre-t-on ? Pourquoi ? Et l’éthique islamique dans tout ça ? Et la protection de l’enfance ? Le grand-imam, lui qui se voudrait être une référence en matière de « déradicalisation », ne devrait pas ignorer que bien des frustrations vécues en bas-âge sont responsables de nombreuses radicalisations futures.

Hier, Omar Djellil a posté sur sa page Facebook ce message : «Voilà l’intégralité du passage où j’évoque le viol, les attouchements et les agressions sexuelles subis par de jeunes musulmanes de la part de trois imam de l’UOIF et officiant dans des mosquées bordelaises»[2]. On ne peut pas dire que l’Etat n’a pas été alerté. Que chacun assume donc ses responsabilités.

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Si les faits s’avéraient vrais, à l’issu d’une enquête judiciaire, sans complaisance, cela ne ferait que le parallèle de ce que la journaliste Zineb el-Rhazaoui avait déjà décrit dans son long et édifiant reportage intitulé «Saint viol en maison d’Allah», publié le 10 septembre 2014, dans les colonnes du journal satirique Charlie Hebdo (n°1160), avec des illustrations du crayon de Tignous, paix à son âme, quatre mois avant son assassinat par les frères Kouachi. Zineb conclut son reportage en ces termes : «De Marrakech à la Mecque, en passant par Dakar, les écoles coraniques, lieux où des enfants vulnérables sont placés sous l’indiscutable autorité d’imams souvent frustrés, voient se dérouler des actes pédophiles que l’islam officiel rechigne à reconnaître. Comment les dénoncer quand nombre de muftis autorise encore le mariage des fillettes à 9 ans ?». Tareq Oubrou doit impérativement s’exprimer publiquement. La charge est grave et ses conséquences sont dramatiques à long terme. Si le propos d’Omar Djellil était faux, pourquoi Tareq Oubrou ne porterait-il pas plainte pour «diffamation» ou pour «dénonciation calomnieuse» alors que ce livre circule depuis plusieurs mois ?

5- Scandales PJD à l’âge MUR …

Le fan-club de Tariq Ramadan doit ouvrir les yeux car, en «islamistan», cette nation imaginaire fantasmée, tout n’est pas noir, tout n’est pas blanc. Entre les deux, il y a bel et bien une large zone grise, noyautée par une zone plutôt rose-amour, en forme de cœurs et parfois de zizis. Cela ne préjuge en rien de la culpabilité (ou pas) de leur idole ramadanienne. La justice jugera. Cela leur permettrait seulement de voir le réel islamiste et ses incohérences, tel qu’elles sont, sans maquillage, sans masques, sans voiles. Peut-être l’ouverture sur d’autres contextes servirait bien à relativiser bien des postures, bien des constructions idéalistes de l’esprit où les islamistes ne sont vus et appréciés que comme des dieux vivants chastes et pudiques. Ce qui est naturellement faux.

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Il découvrirait l’histoire, un poil humoristique tout de même, du frère marocain Abdelilah Benkiran, secrétaire général du PJD (Parti Justice et Développement), briguant ces jours-ci un troisième mandat, tel un despote arabe, qui lorsqu’il était premier ministre avait dragué, publiquement, la présentatrice Nouhad Senhaji, lors d’une cérémonie dans un hôtel à Casablanca, en mars 2015. Il avait chuchoté tout près de son oreille, un peu à l’écart des micros, mais pas en dehors du champ des caméras qui ont capté la scène, je cite : « Je ne te connais pas mais tu me plais»… Heshma !

Le fan-club ramadanien découvrirait les aventures amoureuses de deux islamistes marocains (PJD), un ex-ministre, le frère Elhabib Choubani (marié), et une ex-ministre, la sœur Soumia Benkhaldoun, divorcée de son premier mariage à cause de sa liaison amoureuse avec son frère PJDiste. Ce dernier, certainement par amour fou, avait proposé en 2015 à sa majesté le Roi Mohammed VI de désigner la date du 13 mars pour célébrer annuellement l’anniversaire de la nouvelle «Journée nationale de la société civile». Et ce, peu de temps avant sa démission forcée, suite à l’éclatement médiatique de cette affaire. Plus tard, on a découvert que la date proposée à sa majesté — alors que même au Maroc l’année comporte 365 jours (!) — correspondait, étrangement, à la date de naissance de son amoureuse, Soumia, née un 13 mars 1963. Ou comment soumettre le calendrier national au calendrier rose. Les islamistes ne reculent devant rien.

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On se souvient du scandale sexuel qui avait secoué la branche frériste marocaine, le MUR (Mouvement Unicité et Réforme) — qui contrôle le PJD — en marge de l’arrestation de deux de ses cadres dirigeants, qui n’étaient liés, au moment de leur arrestation par les forces de l’ordre, par aucun acte de mariage, au bord d’une plage sur la côté atlantique, dans une position on ne peut plus claire, à l’intérieur d’une voiture cylindrée.

Enfin …

J’aurais pu évoquer, dans les détails, le cas du journaliste vedette de la chaîne qatarie Al-Jazeera, le frère musulman égyptien Ahmed Mansour (invité du RAMN de l’UOIF en avril 2017) et ses aventures avec une jeune membre du PJD marocain. J’aurais pu évoquer le cas de cette autre icône salafiste, nommée le cheikh al-Fizazi, qui défraye toujours la chronique marocaine par ses relations sexuelles avec Hanane, une jeune femme de 19 ans. J’aurais pu évoquer cette autre icône salafiste marocaine, Abdellah El Hamzaoui de son nom, qui en ce début du mois d’octobre a été condamné par la Justice de sa majesté «à cinq ans de réclusion criminelle pour adultère, détournement de mineure et viol». Cela étant dit, le Maroc est loin d’être le seul pays touché par ce fléau. Le bordel islamiste est désormais partout, au Mashreq comme au Maghreb, en Orient comme en Occident.

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D’autres histoires pourraient être citées, où des islamistes négocient des arrangements avec la morale qu’ils tentent d’imposer aux autres, surtout aux jeunes, limitant de fait et de droit, les libertés individuelles et particulièrement les libertés sexuelles. Mais eux, ils se sentent tout-puissants, contournant la loi islamiste liberticide qu’ils chérissent par la langue fourchée et trahissent, en même temps, par un zizi en érection permanente entre les prières. Ils profitent des corps d’enfants terrorisés. Tels des prédateurs, ils ne manquent pas d’imagination pour attirer, dans leurs filets, de jeunes femmes, dans leurs chambres d’hôtel et parfois dans des salles annexées à des lieux de culte musulman. Parfois, le consentement de ces jeunes femmes leur est acquis. Parfois, le choc et la vulnérabilité rendent ce consentement hésitant voire forcée. Parfois, il s’agit n’est plus ni moins d’un viol caractérisé et destructeur. Car ils savent que, quoiqu’ils fassent, on trouverait toujours des excuses à leurs agissement, à leurs crimes. Et par la même, on condamnerait souvent leurs victimes au silence.

Certes, je ne suis pas dupe du contexte géopolitique planétaire dans lequel s’inscriraient toutes ces révélations et tous ces scandales ultra-médiatisés. Alors que ces mêmes scandales étaient, à ne point douter, connus de tout un milieu. Cependant, si cela permet, aujourd’hui plus qu’hier, en France et ailleurs, à ce que la parole des femmes victimes d’agressions sexuelles se libère, à ce que des enfants, en bas-âge, puissent obtenir réparation et faire condamner leurs agresseurs et ceux qui leurs étaient complices, à ce que le législateur consolide le droit commun par d’autres dispositions de la loi, pourquoi ne pas voir dans ce contexte une opportunité pour faire évoluer pas uniquement le droit mais aussi certaines mentalités qui considèrent les islamistes, en particulier, comme les héritiers du Prophète et les représentants «légitimes» des citoyens musulmans. Ainsi s’achève ce roman islamiste à l’eau de rose, ou plutôt à l’eau salée des larmes et des souffrances. Le fan-club des islamistes et de Tariq Ramadan appréciera.

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Notes :

[1]- Télécharger ici : https://www.fichier-pdf.fr/…/frere-tareq-l-impossible-veri…/
[2]- Lire ici : https://www.facebook.com/apres13/posts/1230815963728418


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